MON CAUCHEMAR CONTINU...
Lundi ce n’était qu’un amuse gueule, en effet je n’avais que le petit à l’école.
Mais hier, je suis rentrée de pleins pieds dans le vif du sujet avec mes deux garçons à l’école.
Je récapitule mes 2 garçons sont en primaire mais dans deux écoles différentes située à 20 minutes de voiture l’une de l’autre et avec des horaires qui ne coïncident pas.
Mon grand commence le matin à 9 heures et termine à 16h30 le lundi, mardi, jeudi, et vendredi.
Mon petit qui depuis lundi est au CP c’est 8h45 tous les matins et son école est la plus loin de mon domicile le soir l’heure de sortie dépends du jour le lundi et le jeudi la sortie est à 17h mais le mardi et le vendredi c’est à 16h.
Je sais cela commence à se compliquer faut suivre !!!
De plus ils ont chacun une séance d’orthophonie par semaine et cette année c’est le mardi bien sur dans la même ville mais pas la même adresse ( je ne dois pas me plaindre c’est au moins le même jour !) l’un sa séance est à 18h20 pour l’autre c’est 18h30 l’écart de 10 minutes me permettant juste de traverser la ville pour déposer le second.
Notre retour à la maison 19 h 30 pour passer à table à une heure correcte faut bien sur avoir préparé le diner à l’avance.
Conclusion sans même parler du temps interminable que je passe par jour en voiture juste pour conduire mes enfants à l’école et des frais qui en découlent le plus inquiétant ce sont la longueur de leurs journées.
J’ai calculé le mardi leur journée est de 12 heures je ne suis pas sure que beaucoup d’adulte tiendraient le coup alors j’angoisse pour mes petits bout de 10 ans ½ et de 5 ans ½…
Surtout que le mercredi ou le samedi n’est pas fait pour se reposer ce sont les jours PSY un jour pour chacun et pas la même ville, séances qui sont indispensables pour les aider à supporter cette séparation sanglante.
Et dire que si la situation est si difficile c’est pour simplifier la vie du papa numéro 3 qui refuse de faire un détour de 3 kilomètres…
Le pire c’est que le JAF n’a pas compris la situation et sans rien changer empire les choses.
Le 12 septembre je rencontre le juge des enfants car cet été papa numéro 3 a rien trouvé d’autre que de m’accuser de maltraitance ; j’espère que ce juge ci sera plus sensible à ce qui se passe vraiment et qu’il m’écoute.
J’ai fais un rêve… celui de vivre sereine avec mes enfants… c’est surement utopique !
A moins que le prochain juge mouille sa robe !